Ces quatre jours au grand air nous ont fait le plus grand bien. On rentre cependant sur la capitale aujourd’hui par le minibus de 9h30. Jusqu’à 25 personnes entreront en même temps dans le bus 12 places et les arrêts ne peuvent plus se dénombrer tant ils ont été fréquents. Pourtant, 2h plus tard, on est dans le métro soviétique de Tbilissi, en route pour notre magnifique chambre d’hôtel en pleine vieille ville.
On a décidé de rester baser ici et de faire des excursions. Au programme Gori, la ville de naissance de Staline et David Gareja, un monastère géorgien cette fois! (et oui, pourtant on s’était promis de ne plus en voir un seul).
Aujourd’hui, journée de détente, c’est férié ici, la fête de la Sainte Vierge Marie… Alors nous aussi on se repose, y’a pas de raison. Les géorgiens foncent à l’église dans leurs beaux habits et leurs belles voitures et nous on les photographie en mangeant des glaces.
On déambule dans les ruelles arborées de la vieille ville. De nombreuses maisons en bois, souvent en ruines, restent encore debout. Tantot d’influence turque, tantot européenne, elles sont magnifiques. On flane devant la mosquée à la recherche de baklavas… Il nous faut aller jusqu’à la ville contemporaine pour les dégoter.